Elle vous avait… manqué ? Elle revient en octobre prochain. Un an après le choc “Conjuring : Les dossiers Warren”, la poupée maudite a droit à son propre film avec “Annabelle”. Premières images.
C’est une poupée… qui fait peur peur peur ! Elle n’avait que deux scènes dans Conjuring : les dossiers Warren, pourtant Annabelle s’est définitivement imposée comme la “star” du frisson de 2013. Cette poupée maudite, inspirée d’un véritable poupon conservé sous haute surveillance par la spécialiste du paranormal Lorraine Warren dans son musée de l’occulte, a désormais droit à son film.
Missed Me ?
Attendu sur nos écrans le 8 octobre prochain et confié à John R. Leonetti, directeur de la photographie sur Insidious, Insidious : Chapitre 2 et Conjuring (et spécialiste des ambiances à fort potentiel de trouille), Annabelle proposera une approche hybride entre prequel et film-dérivé, puisque l’on suivra le destin sanglant de la poupée avant sa rencontre avec le couple Warren (et la redoutable scène d’ouverture de Conjuring et son terrifiant “Missed me ?”).
Un destin qui passe par la maison d’un couple sans histoires, dont la femme collectionne des poupées, et dont le quotidien a sombrer dans le cauchemar quand Annabelle entre dans leur vie. Le nom de cette comédienne menacée par le poupon ? Annabelle Wallis de la série pan-Am. Ca ne s’invente pas.
A propos de la poupée Annabelle
Secret de tournage de “Conjuring : Les dossiers Warren”
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La poupée possédée Annabelle est un personnage du film à part entière. Elle est enfermée à double tour dans sa vitrine du musée de l’occulte, hors d’état de nuire. L’Annabelle du film est assez différente de la véritable poupée maléfique : “Notre Annabelle est délabrée et tombe en ruines (…). Elle a quelque chose de malsain. D’ailleurs, je ne voulais pas me trouver dans la même pièce qu’elle, et prendre le risque qu’elle me regarde”, admet le réalisateur, James Wan. La vraie Annabelle, dont Lorraine Warren refuse elle aussi catégoriquement de croiser le regard, est une poupée de chiffon, alors que celle du film est en porcelaine. Ses yeux, sa bouche et sa tête, en animatronique, peuvent se mouvoir. Sa robe de mariée des années 40 a été fabriquée par la chef costumière Kristin M. Burke. On lui a ensuite ajouté une perruque. Une fois la poupée dans sa vitrine, et seulement à ce moment, le cinéaste lui a retiré son voile, révélant son visage terrorisant.