Après un premier mariage au début des années 90, il s’était juré de ne plus jamais glissé de bague à un doigt. Il y a deux ans, Amal Alamuddin est pourtant devenue Mrs Clooney. De même, ce brave George assurait qu’il n’aurait jamais d’enfants. Avec son épouse, ils attendraient aujourd’hui des jumeaux. C’est à n’y plus rien comprendre. A moins que ses beaux-parents, Baria et Ramzi Alamuddin, aient eu leur mot à dire…
Le 27 septembre 2014, il n’a pas seulement glissé la bague au doigt d’une femme. Il a épousé tout un clan ! Une fratrie composée de deux frères aînés, Samer et Ziad, et d’une sœur cadette, Tala. Mais surtout, deux beaux-parents, pas du genre à se laisser impressionner par le tralala hollywoodien.Avocate international spécialisée dans les droits de l’homme, les extraditions et les cas criminels, Amal Alamuddin Clooney a de qui tenir.
Fils d’un ténor des prétoires libanais, son père, Ramzi Alamuddin, a lui-même plaidé, avant d’enseigner les sciences commerciales à l’Université américaine de Beyrouth. Journaliste politique, sa mère, Baria Miknas Alamuddin, est un visage bien connu des télespectateurs libanais – qui l’ont surnommée « la Liz Taylor du Liban » en raison de son élégance – et une signature reconnue du quotidien Al-Hayat – dont elle est devenue l’une des éditrices. George peut bien se targuer de copiner avec Brad Pitt ou Julia Roberts. Baria a, de son côté, échangé avec Mohammed Hosni Moubarak, Hussein de Jordanie, Margaret Thatcher, Tony Blair, Bill Clinton ou encore Fidel Castro, au cours de sa carrière. Aujourd’hui conférencière, elle fut même la dernière journaliste à s’entretenir avec Indira Ghandi.
Puissante famille druze de la région du Choufe, les Alamuddin n’ont pas hésité à faire passer leurs carrières après leurs enfants, au début des années 80. C’est même pour eux qu’ils ont quitté le Liban, alors en guerre, et se sont installés à Gerrards Cross, banlieue cossue de Londres. Née à Beyrouth, Amal a ainsi pu fréquenter les meilleurs établissements anglais – d’abord, la Dr Challoner’s High School ; puis, le St Hugh’s College de l’Université d’Oxford. Orientaux chaleureux et ouverts aux dires de leurs anciens voisins, les Alamuddin n’en ont pas moins encouragé leurs enfants à faire briller leur nom de famille.
Soucieux de voir l’excellente réputation de son clan se perpétuer, Ramzi Alamuddin eut même ces mots, au moment de trinquer à la santé de George et Amal, tout juste mariés : « Et maintenant, il est temps de fonder une famille ! » Vrai que sur les quatre enfants Alamuddin, seule la benjamine Tala était alors déjà maman d’une petite Mia, née de son mariage avec l’homme d’affaires Nagi Hamiyeh.
Début 2016, en pleine promotion du film Ave César !, George préférait s’amuser des liens d’Amal et de ses parents en ces termes : « Mon épouse et moi nous partageons entre l’Italie, Los Angeles et l’Angleterre. En Angleterre, je me concentre sur l’écriture et sur mon engagement humanitaire. A Los Angeles, je travaille sur mes réalisations, je rencontre des producteurs et des agents. En Italie, je prends du recul. Amal apprécie Los Angeles car elle peut davantage se concentrer sur son travail. En Angleterre, elle doit en permanence rendre visite à ses amis et à sa famille ! »
De là à dire que beau-papa Ramzi et belle-maman Baria aurait forcé leur fille à tomber enceinte – de jumeaux, se dit-il – l’année de ses 39 ans…
Crédits photos Bestimage / Getty / Abaca
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