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Tout savoir sur le stérilet lors de la journée mondiale de la contraception

Le dispositif intra-utérin, tel que le stérilet, est la forme de contraception la plus utilisée en France par les femmes âgées de 45 à 49 ans. Pourtant, les plus jeunes pourraient aussi y avoir recours, même si elles n’ont pas encore eu d’enfants. Pour casser les idées reçues, une application sur Facebook est lancée et concentre une multitude d’informations précises à ce sujet.

L'application “Un amour de stérilet“ est disponible gratuitement sur le réseau social, à l'adresse Facebook.com/unamourdesterilet.

À l’initiative de Bayer HealthCare, l’application “Un amour de stérilet“ est disponible gratuitement sur le réseau social, à l’adresse Facebook.com/unamourdesterilet. Lancé à l’occasion de la journée mondiale de la contraception le 26 septembre, ce dispositif a été élaboré pour façonner les esprits, car les idées reçues ont la vie dure à propos du stérilet. Une encyclopédie joue le rôle de la théorie, avec tout ce qu’il faut savoir sur les dispositifs intra-utérins, tandis qu’une bande-dessinée aborde de façon ludique les fausses croyances sur le sujet. Car, en France, le stérilet se réserve surtout aux femmes d’âge mûr, qui ont déjà eu des enfants. D’après une enquête sur le sujet menée en septembre 2012, 22,6% des femmes ont fait appel à un dispositif intra-utérin. 34,7% d’entre elles ont entre 45 et 49 ans, alors que seuls 5% sont âgés de 20 à 24 ans et 16,2% entre 25 et 29 ans. L’une des raisons de ce constat se trouve chez les médecins, nombreux (69% chez les gynécologues et 84% chez les généralistes) à estimer qu’un dispositif intra-utérin n’est pas indiqué pour une femme n’ayant pas eu d’enfant. “La première idée reçue qui colle à a peau du DIU (dispositif intra-utérin, NDLR) est le risque de stérilité. Il ne faut pas associer le nom “stérilet“ à la stérilité, car le DIU est un moyen contraceptif à longue durée d’action mais qui est totalement réversible. Dès le retrait du DIU, la patiente peut tout à fait débuter une grossesse“ commente le Docteur Thierry Harvey, chef de service de la maternité de l’hôpital des Diaconesses à Paris. AFP/RelaxnewsSource : Communiqué de Bayer HealthCare – Septembre 2014