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Un faible IMC serait lié à un risque abaissé de diabète de type 2

Une vaste étude internationale a montré que le fait d’afficher un indice de masse corporelle (IMC) faible était invariablement lié à un risque moindre de diabète sucré, même chez les personnes souffrant de facteurs de risques génétiques pour cette maladie.

Sommaire

  1. Réduire les risques de diabète de type 2

Ces recherches, menées par une équipe des universités de Stanford aux Etats-Unis et d’Oxford au Royaume-Uni, ont pris en compte des données concernant 287.394 personnes âgées de 40 à 69 ans ayant pris part à une vaste étude (UK Biobank) concernant plus d’un demi-million de résidents britanniques.Les chercheurs ont utilisé les données pour s’intéresser à l’association entre l’

IMC et les facteurs de risques génétiques affectant le risque de

diabète de type 2.Leurs résultats, repris en ligne sur 

PLOS Medicine, ont montré qu’un risque plus élevé de diabète était associé à un IMC plus haut, à des antécédents familiaux de diabète de type 2 et à des facteurs de risques génétiques. Réduire les risques de diabète de type 2L’équipe a aussi trouvé qu’un IMC plus faible était invariablement associé à un risque réduit de diabète, quels que soient les antécédents familiaux et les catégories de risque génétique. Ce qui laisse penser que tous les individus pourraient potentiellement réduire leur risque de diabète en perdant du poids. Ils ont prédit que la perte de poids pourrait considérablement réduire le risque de diabète, même chez les individus moins à risque.Bien qu’il ait déjà été démontré que la perte de poids réduisait le risque de diabète de type 2 chez les personnes à fort risque ou déjà pré-diabétiques, ses effets sur les personnes affichant un moindre risque n’avaient pas été bien étudiés. “Ces résultats suggèrent que tous les individus peuvent grandement réduire leurs risques de diabète de type 2 grâce à la perte de poids”, ont commenté les auteurs. Mais ils ont cependant noté qu’il fallait interpréter ces résultats avec prudence car ils ne prenaient pas en compte les interventions de perte de poids dans l’étude. Les scientifiques ont par ailleurs ajouté que bien que leur nouvelle analyse “puisse déterminer qu’un IMC plus bas au cours de la vie pouvait protéger du diabète, cela n’implique pas nécessairement qu’une perte de poids plus tard dans la vie, et après avoir porté un excès de poids pendant des décennies, produirait les mêmes résultats.“Click Here: cheap nrl jerseys