Sur le plateau de Non Stop People, ce mercredi 31 mars, Christine Bravo s’est confiée avec une franchise désarmante sur le décès de son papa. L’occasion pour la sociétaire des Grosses têtes d’évoquer un projet pour le moins surprenant…
Malgré le temps passé, Christine Bravo ressent encore la tristesse de la mort de son père, Antonio Bravo, en avril 2010 en raison d’un cancer. Si l’ancienne animatrice de Frou-Frou, désormais sociétaire des Grosses têtes sur RTL, refuse de se rappeler la date du décès à cause d’un “blocage”, elle se souvient bien des circonstances lors de l’inhumation. Dans un entretien sans fard accordé à Non Stop People, ce mercredi 31 mars, la chroniqueuse de 64 ans a raconté avoir refusé catégoriquement de voir la dépouille de son papa, mort à 79 ans. Une situation à la fois “terrible et comique”, quand le thanatopracteur s’est vexé parce qu’elle ne voulait pas voir le corps “bien maquillé” de son père. “Plus les deux flics qui venaient desceller le cercueil qui me disent : ‘On peut avoir des autographes ?'”, a expliqué Christine Bravo, en précisant avoir effectué “20 ans de psychanalyse”. Et d’ajouter, au sujet de son défunt papa : “C’est mon héros, l’homme de ma vie”.
Au cours de cette interview, Christine Bravo a levé le voile sur un projet pour le moins surprenant. Natif de Tolède, en Espagne, son père Antonio Bravo a été enterré dans un endroit que sa fille ne souhaite pas connaître, alors que celui-ci souhaitait que ses cendres soient répandues en Auvergne, “dans la ferme où il avait été pendant la Résistance, après les camps de concentration”. Une injustice que l’ex-présentatrice, également organisatrice de croisière culturelles et historiques sur la Seine, entend bien réparer. “Je lui ai promis mais il n’y avait rien à faire. Ils l’ont mis dans une boîte et ils l’ont emmené dans un bled“, a-t-elle répliqué, avant de lancer, avec une franchise désarmante : “Je vais aller le déboulonner !”
“Il paraît qu’il y a une plaque… mais je m’en fous !”
Connue pour son franc-parler à toutes épreuves, Christine Bravo n’est pas de celles qui s’en laissent conter. Si cette idée d’exhumation semble compliquée à mettre en œuvre, la présentatrice a bien l’intention de la mener à bien. “Il paraît qu’il y a une plaque mais je m’en fous, je vais aller le faire et le remettre en Auvergne ! Il paraît qu’on n’a pas le droit mais vous savez, il n’y a pas écrit ‘elle ne fait que ce qui est autorisé'”, a affirmé la principale intéressée, heureuse et amoureuse de son compagnon Stéphane Bachot, dans un éclat de rire.
Article écrit avec la collaboration de 6Medias.
Crédits photos : Capture d’écran Non Stop People
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