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Robert Pattinson: « On me confond souvent avec Zac Efron! »

Leonardo Di Caprio avoue qu’il est soulagé d’avoir trouvé un beau gosse pour le remplacer dans le coeur des midinettes. Pourtant il y a un an, le nom de Robert Pattinson n’évoquait rien à personne. Aujourd’hui, il déclenche l’hystérie partout sur son passage: le héros de Twilight a répondu à nos questions les plus indiscrètes.

Gala: A votre avis, que pensent de vous les Français?

Robert Pattinson: Je ne sais pas, mais moi j’adore la France. J’ai beaucoup de respect pour

, car il est marié à une très jolie femme. Je peux vous chanter Frère Jacques, si vous le souhaitez (rire). A mon avis, les Français pensent que je suis un vrai vampire. A Paris, dès que je me mets à ouvrir la bouche, les gens commencent à se faire du souci (sourire).

Gala: Chez vous, qui sort les poubelles?

R. P.: C’est moi, mais je ne les sors pas, je les jette ! Je me penche par la fenêtre et j’essaie de viser la poubelle. C’est une pratique qui demande beaucoup d’entraînement et de concentration. Je ne pense pas que j’aurais été engagé dans une équipe de basket-ball, je rate ma cible une fois sur deux!

Gala: Triez-vous vos déchets?

R. P.: La protection de l’environnement tient une place importante dans mon cœur… surtout lorsque ce sont les autres qui prennent conscience de la gravité de la situation et font les démarches nécessaires. Malheureusement, ce n’est pas tous les jours mon cas.

Gala: Quel est votre cauchemar récurrent?

R. P.: Arsenal, mon équipe favorite de football, se met à perdre à chaque fois qu’elle entre sur un terrain. Rien que d’en parler me donne des frissons!

Gala: Vous confond-on souvent avec un autre?

R. P.: Avec Zac Efron ! (il se met à rire). Non, en fait, certains de mes amis disent que je lui ressemble pour se moquer de moi!

Gala: Vous souvenez-vous de votre première petite amie?

R. P.: C’est trop personnel. Et puis je ne sais pas si ma première petite amie n’était pas en réalité un petit ami. Je crains de m’être trompé sur son sexe.

Gala: A l’école, étiez-vous plutôt au premier ou au dernier rang?

R. P.: Durant toute ma scolarité, les profs n’ont marqué qu’une phrase sur mon carnet de notes : « Peut mieux faire. »

Gala: Aimez-vous votre reflet?

R. P.: C’est assez drôle: plus je me sens moche et plus j’ai du succès avec les filles, plus je suis mal coiffé et plus les demoiselles me courent après.

Gala: Vous êtes-vous déjà déguisé pour échapper aux paparazzi?

R. P.: Ce n’est malheureusement plus le cas aujourd’hui, mais, avant le succès de Twilight, les paparazzi m’accostaient en me demandant si j’étais bien Robert Pattinson. Etant toujours mal habillé, je leur disais qu’ils faisaient erreur sur la personne et ça marchait la plupart du temps.

Gala: Quel est votre remède contre le trac?

R. P.: Je joue de la musique. Mes parents ont insisté pour que je me mette au piano dès l’âge de quatre ans. Par la suite, j’ai appris la guitare avec un groupe. La musique me permet de m’évader.

Gala: Qu’est-ce qui vous fait le plus stresser?

R. P.: Le manque de ponctualité. Malheureusement, cela m’arrive souvent. En fait, j’arrive toujours en retard et je déteste ça.

Gala: Qu’est-ce qui vous empêche de dormir?

R. P.: La manière dont mes sœurs ont osé me traiter lorsque j’étais enfant! Elles n’arrêtaient pas de m’habiller en fille et me prénommaient même «Claudia». Cela m’a traumatisé.

Gala: Quel est le message de votre téléphone portable?

R. P.: Je n’en ai pas. Les inconnus qui m’appellent ne sont donc pas certains d’avoir le bon numéro et ne me rappellent plus… Mince, je suis débile de révéler ce secret!

Gala: Avez vous déjà acheté un ticket pour aller voir l’un de vos films?

R. P.: J’ai honte de le dire, mais oui. En fait, à mes débuts, personne ne se déplaçait pour voir mes films, donc j’y allais plusieurs fois avec des copains.

Gala: Quel est votre plat préféré?

R. P.: J’adore les frites et les pattes. Hélas, je cuisine très mal. A part cuire un œuf, et encore ! Je ne suis pas certain de pouvoir le mettre dans mon assiette.

Gala: Quelle est votre plus grosse honte?

R. P.: Il y a longtemps, j’étais en train de tourner un film et une fille est arrivée sur le plateau. Pendant cinq minutes, je n’ai pas arrêté de dire à un caméraman à quel point j’aimerais passer la nuit avec cette nana… Pas de chance, c’était sa fille!

Propos recueillis en exclusivité par Hervé Tropéa

Gala, novembre 2009

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